La colère de l’été, où les ombres reposent. Une chaleur infernale, un bûcher brûlant,  Le tourment de la nature, alimenté par le feu. Oh, le règne de l’été, une saison de mort,

Flétrissant la vie, à chaque respiration. La terre brûlée, où les démons habitent, Une symphonie de tourments, des profondeurs de l’enfer.

Des champs en feu, un spectacle noirci, Des arbres tordus, dépourvus de lumière.  Des rivières à sec, une terre stérile, La fureur de la nature, une main brûlante.